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photo Latifa Laâbissi et Antonia Baehr  Cavaliers impurs

Latifa Laâbissi et Antonia Baehr Cavaliers impurs

Danse - Bal - Cabaret

Marseille 13000

Du 01/10/2025 au 02/10/2025

Pour cet opus, le duo crée un cabaret, un ensemble de numéros aux genres multiples prenant pour arène une boite en carton géante imaginée par la scénographe Nadia Lauro. Faite d’hybridité, de métamorphoses et de collages, la performance Cavaliers impurs marque la deuxième collaboration entre Latifa Laâbissi et Antonia Baehr, après Consul et Meshie. Pour cet opus, le duo crée un cabaret, un ensemble de numéros aux genres multiples prenant pour arène une boite en carton géante imaginée par la scénographe Nadia Lauro. Leur jeu de regards, leurs gestes espiègles et leur vocabulaire corporel commun ouvrent un champ où humour, auto-dérision et critique sociale tissent des réseaux de significations inattendus. Puisant leur inspiration dans des références aussi variées que l’art photographique de Robert Mapplethorpe ou des chansons allemandes et égyptiennes, les deux artistes forgent un pacte fictionnel à la fois cérébral et ludique. Mouvements et paroles sont amplifiés par la présence de la boîte en carton : objet de design, abri et terrain fécond où les codes du genre et de la représentation scénique sont renversés, elle devient le lieu de toutes les transformations[...]

photo Spectacle - La nuit tombe quand elle veut

Spectacle - La nuit tombe quand elle veut

Musique, Spectacle

Saint-Brieuc 22000

Du 10/03/2022 au 11/03/2022

Veillée sauvage et hallucinée Latifa Laâbissi et Marcelo Evelin proposent une traversée imaginaire et sonore : une veillée hallucinée en forme d’aventure, habitée de créatures incandescentes, travaillant au corps les images, les voix et les états qui les traversent… Un voyage du sensible pour partager avec eux une expérience hypnotique plastique et musicale. Un lâcher-prise qui laisse advenir les rêves, les peurs, les spectres. Accompagnées du musicien Tomas Monteiro – dont le thérémine se fait l’amplificateur de leurs états imaginaires –, leurs présences mutent, devenant « des corps qui voient, encaissent, sédimentent, cannibalisent, archivent, enfouissent ». Démultipliés par l’espace incandescent de Nadia Lauro, la lumière qu’ils font miroiter, les langues qu’ils émettent, ces corps saturés d’images se fondent en une matière tumultueuse et malléable, en constante métamorphose. Laissez-vous surprendre et de spectateur devenez veilleur. Tout public